Montpellier – Bangkok

20 février 2022 – 21 février 2022

Bonjour mes amis.
Voilà le départ de Montpellier- Méditerranée pour Bangkok via Paris CDG.
Trop beau départ ce dimanche matin.
La veille je m’étais regardé toute la série « Dangers dans le ciel ». A ne pas visionner si vous n’aimez pas prendre l’avion. Pendant le trajet vers Bangkok, avec un gros porteur AirBus A 377, on a eu des turbulences juste au dessus de l’Ukraine, je ne sais pas pourquoi. Enfin bien arrivé, mais les formalités sanitaires et administratives sont compliquées malgré une organisation au rasoir. Me voilà donc confiné pour 24h à l’Hôtel en attendant le résultat du test PCR obligatoire à l’entrée dans le pays. On sent qu’on a quand même un peu la peste, sur place. Trop d’appréhension que les touristes rapportent la sale bestiole. Mais souriants quand même, ils restent, les Thaïlandais.
(Arrivée le 21 fév 2022 6h30 heure locale)
Merci de me suivre.
A bientôt mes amis.

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Juste avant

Mardi 31 décembre 2021

Ce soir, dernier jour de l’année. Je déambule dans les rues de Montpellier, près de la Comédie, envisageant quelque bistrot ou brasserie pas encore encombrée par notre Saint Sylvestre. Je retrouve par hasard, Antoni, mon infortuné camarade de la chambre que nous avions partagée quelques semaines plus tôt à Gui de Chaulliac. Après certaine politesse et autre compliment d’être encore de ce monde, le voilà qu’il me sort sa complainte qu’on entend quelques fois, ces fins d’années pénibles.

Il faut me résigner, souffrir réalité, qu’il me dit, Que de malédictions et médiocre parcours. Je me vois, me désole, atteint, sans compassion, regard, consolation. Soumis au miroir d’une lente disgrâce. Ma chanson lamentable sera inachevée. Je partirai sans bruit et sans aucune empreinte. Au-delà du passage, je serai le trou noir dont on loue le mystère. La vie est une traitresse. Elle te promet merveilles, grâces et volupté. Tu en sors rincé, déçu, sans affection, sans amour, sans amis. Heureux, celui-là, qui, épanoui, peut enchanter autrui, t’entends bien, Max ! Des amours, des jolies, j’en ai eu il y a si longtemps. C’était bien avant les malheurs d’hier, du temps de ma première chance. Un soir, avec ma France, nous étions tout collés, bien recroquevillés, malgré les accoudoirs, dans nos fauteuils usés du déjà vieillissant cinéma de Celleneuve. Belle et souriante, ma France. Attirante, insouciante. Son délicat appel à briser la pudeur d’une arrogante jeunesse. Son sein, beau, tendre, doux, merveilleux, s’est glissé sous ma main. Je me fichais du monde, et ses décorations. Sans tenue, nous étions. Improbable situation pour un garçon comme moi. Ce pouvoir d’être aimé. C’est l’unique combat, quand on n’a pas d’allure. Je l’aimais cette fille que je la cherche encore, j’te dis ! L’histoire est bien vivante. Le souvenir perdu, dans ma tête pesante, c’est le titre du film, ce soir d’un trente-et-un décembre, tu sais. Ne pas tourner le dos, dès que le vent te porte. Je ne possédais pas, comme toi, Max, cette lucidité que le bonheur ne dure que le temps d’une toile. C’était toujours ça de pris dans le lit de ma vaine existence. Qu’est-ce que je fous ici, dis-moi ? Avec ma poche, mixtion de douleurs et de solitude. Le monde s’amuse sans moi.  La vie m’a oublié. Les peines et les joies du forum des belles aventures ne me sont plus permises.  C’est maintenant plié. Je vais chiner le grain vers les pays lointains, où mon cœur découvert se donnera à d’autres.

Je continuai à l’écouter, un peu fasciné. Quoique tu en penses, mon ami, cette maladie, celle qui peut te mener rapidement vers le rien, est une calamité dont tu ne te libères jamais. Être en auspice favorable, répit ou guérison, ne t’épargne guère des tâches inaltérables. Méfie-toi des amis et de ta sainte famille. Ils sont, généralement, plus apeurés que toi. De cette affection, d’abord, et bien que redoutable, n’est en rien contagieuse, si ce n’est par cette folle angoisse d’une loterie funeste. Puis, de toi, ils se garderont bien, démolisseur de la tranquillité, trouble-fête du sympathique entre soi, rabat-joie de la noce du cœur, invité problématique des maitres d’Épicure.  Crois-moi, l’affection qu’on te porte, ne dure qu’un moment. Enfin, ce fût ma peine.  Elle en valut bien d’autres.

Et je le vis partir dans ces petites rues de la gare, qui manquent de lumière, qu’on oublie de soigner.

Indécis

« Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter
un autre chemin de vie. »
Carl Gustav Jung – Médecin – Psychiatre ( 1875 – 1961)

Mardi 16 février 2022

https://www.notos.co/albums/yVDqe3cTUO

61 – La Tendresse ( Bourvil )

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Cette vidéo n’existe pas

60. Le Poinçonneur des lilas ( Gainsbourg)

Version confinée

 

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Cette vidéo n’existe pas

 

58 – Couronne de Coeurs

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Des urgentistes du Smur-Samu 34 au CHU de Montpellier

En soutien aux blouses blanches

Couronne de cœurs                             Max Krief     ( 24 mars 2020)

 

Couronne de cœurs

Balance ta peur

Le temps d’un printemps

L’été en chantant

 

Sois libre et malin

Ne prends pas ma main

Reste celui qui

Coupera le fil

 

Couronne de cœurs

Largue le faucheur

Libère le vent

Microbes d’autan

 

Gardes le verso

Eloigné de moi

Protège ta voix

Des futiles mots

 

Couronne de cœurs

Chasse le malheur

Comme seule épreuve

Poursuivre son œuvre

 

Endure ta peine

Regarde ces reines

Blouses et sacrifices

Tiennent leurs offices

 

Couronne de cœurs         (bis)

Balance ta peur

Le temps d’un printemps

L’été en chantant

56 – BANGKOK – La chaleureuse

25 février 2020

Mon voyage se termine maintenant.
Grosse nostalgie de la longue plage de 5 kilomètres que je parcourais le matin à Ko Lanta, croisant quelques « joggueuses » et de rares baigneurs, des paysages embrumés aux petites îles rocailleuses qu’on perçoit à peine, aux petits rapaces tournoyant lentement dans le haut ciel azuré. Dernier lieu de passage et parcours de mes étapes programmées.
Bangkok, la souriante, que je retrouve, avec ravissement, cette vie perpétuelle, des travailleurs du matins aux pêcheurs en eau trouble, de la nuit chaude des quartiers de PatPong, Nana Plazza où Soi Cowboy. Curiosités surfaites des années passées ou les occidentaux se frayaient un chemin vers les interdits moraux.
En tout cas, le plaisir de retrouver cet ami, par hasard, qui m’a fait découvrir ces merveilleux restaurants de rue, que ma petite santé rechignait à affronter, et ces bars animés de jeunes groupes de rock interprétant merveilleusement bien, les vieux tubes des années 70, nostalgie des années de jeunesse que n’effacera jamais, ce tapage insensé de musique électronique de Saïgon, la prétentieuse.
Ce fut des moments de bonheur que je n’oublierai pas, grâce à Serge.
Je voulais remercier tous ceux, celles qui m’ont suivi durant ce parcours, avec des commentaires, ou non. Cela m’a permis de voyager un peu moins seul, même si ce petit périple en électron libre, est une expérience incomparable.

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55 – KHO LANTA YAI

22 février 2020

 

Ça va mieux ce matin, mais j’ai finalement décidé de ne pas aller voir l’ile du nord en scooter. Il est vrai que Kho Lanta Noi est plus sauvage, plus atypique, moins touristique, à ce qu’on m’a dit. Mais, beaucoup de vent, les yeux encore fragiles. Après tout, durant ce voyage, et selon sa durée, je ne pouvais pas tout voir. Alors, encore de la baignade, de la marche, avec le vent soufflant chaud et fort.
J’ai trouvé le prétexte d’aller à la pharmacie pour faire ces quelques kilomètres et découvrir des traces encore présentes du tsunami de 2004. Déjà seize ans et beaucoup de terrains ou commerces à vendre. j’ai aussi vu un très rare restaurant s’affichant français, et vendant des pizzas. La réputation de la cuisine française en prend un coup.
Le centre de météorologie de l’ile.
Et puis enfin ma pharmacie.
« Closed » y est affiché. Je demande à une dame assise juste à côté, si ça ouvre aujourd’hui. Elle ne sait pas et et me donne l’impression de découvrir la boutique. Il y aussi sur la vitrine de cette pharmacie, cette petite affichette : veuillez vous déchausser avant d’entrer. En effet, dans la plupart des magasins de la ville, c’est comme ça. Rapport à la culture musulmane, sans doute, présente majoritairement dans cette province de Krabi.
Dans certains commentaires, on me demande pourquoi le choix de Kho Lanta ?
Je dois dire que cette étape m’a été un peu vendue par le tour opérateur local de Bangkok. J’avais fait plutôt le choix de Kho Phrayam. Île beaucoup plus discrète.

Mais, finalement, pas de regret, Le climat est agréable, peu de touristes, paysages magnifiques. Et les soirées comme on peut en rêver.
Bon, pour les soins, on attendra Bangkok.
Ce sont les derniers jours.
Surprise, un vieil ami ayant remarqué ma diffusion, m’a fait signe qu’il était sur Bangkok. On va se raconter nos dix dernières années.

 

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54 – KHO LANTA

21 février 2020

Kho Lanta ou Ko Lanta, l’ile aux mille yeux, est connue en France, notamment depuis l’émission de télé-réalité, du même nom, L’ile fut touchée par le violant tsunami de 2004, qui dévasta tout le sud de la Thaïlande, Phuket, Krabi, Phang Nga (la plus touchée), Ranong, Trang et Satun et Ko Lanta.

Mon premier jour a été consacré au « Farniente ». Plage, soleil, dîners et rafraîchissement.

Vous vous souvenez de mon cours séjour aux urgences de l’hôpital de Chiang Mai, pour une allergie aux moustiques de rivière ? Et bien, A ce propos, savez-vous que l’on trouve les mêmes moustiques-tigres » que l’on a en France, Et bien, croyez-moi, il y en a beaucoup moins ici, qu’à Montpellier, en été. ( Saison sèche, en Thaïlande)
A croire qu’ils se sont « donnés le mot » pour venir en France.
Bref me voilà ennuyé par une allergie, soleil ou vent, je ne sais pas trop. Un œil gonflé, le nez qui coule. C’est bien ma veine !
Moi qui comptais faire un tour en moto sur l’ile du Nord (Kho Lanta Noi). On verra demain…

Le voyage en solitaire permet, je suppose, de mieux observer l’environnement, d’être attentif aux autres, j’en suis sûr. Mais si l’on veut comparer un homme et une femme voyageant seuls, on remarquera que cela est moins facile pour un homme.
Observons les éléphants, qui vivent habituellement en groupe, en famille, quand ils sont en liberté et se déplacent. Un éléphant solitaire, mâle, essaie de se rapprocher d’un groupe. Aussitôt, le troupeau est sur la défensive. Le chef du groupe, le plus âgé, se met en avant. Soupçon de convoitise des femelles, d’abord. Puis, peur d’une attaque sur les petits. Et surtout, crainte de la zizanie dans le groupe. Je ne parle que des éléphants, bien sûr.
Une femme isolée, en voyage, suscite de l’admiration. De l’attirance parfois. De la curiosité aussi. Un soir, installé à une terrasse du bord de mer, j’observe une femme qui s’assoit à une table proche, seule. Elle tourne sur elle-même pour situer sa position, Elle a maintenant, un verre de vin blanc, posé sur sa table. Elle écrit quelques lignes sur un petit carnet. Elle se lève, prend quelques photos avec son téléphone et se fait un « selfie ». Puis elle cherche manifestement un serveur pour régler son addition. Je me surprends à lui indiquer qu’il faut appuyer sur l’interphone posé sur sa table. (Ça se fait beaucoup en Thaïlande)
Elle me répond : oui je sais, en espagnol,  l’air de dire « De quoi j’me mêle ? »

Je n’insiste pas et quitte cette terrasse, un peu plus tard,

En conversation téléphonique, déambulant sur le trottoir, tout enjoué et détendu, j’aperçois cette femme, qui, en me croisant, fait un large sourire, auquel je réponds, spontanément, sans, toutefois interrompre ma causerie. Je la perds du regard.
Je ne l’ai pas revue.
Il faut réécouter  » Les Passantes » de Georges Brassens.

 

 

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53 – KRABI – Aonang Beach

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20 février 2020

Bon, ça fait trois fois que je rédige mon petit topo quotidien. Mais, entre les problèmes de l’application, pas du tout au point, et les lenteurs du réseau, je commence a m’inquiéter. J’ai failli vous perdre et tous mes textes avec. Les photos sont sauvegardées.

Pas de regret d’avoir quitter le Viêt-Nam. Comme dit ma fille, Au Viêt-Nam comme en Thaïlande, on nous voit comme des porte- monnaie ambulants. Mais , au moins, en Thaïlande, c’est avec le sourire. Bref, un petit résumé de mon séjour à Krabi. Ville côtière du sud de la Thaïlande, moins prisée des touristes que Phuket, elle est quand même très agréable et les paysages côtiers y sont splendides. La plage est bordée d’arbres qui permettent de se protéger tout en profitant du paysage. L’eau y est tellement agréable, qu’on a presque un peu froid, en y sortant, malgré la température ambiante de 33°.
La population est multi-ethnique, multi- religieuse et multi-culturelle. On y croise aussi bien des femmes voilées, souriantes, que des « Lady-boys » respectées ici en Thaïlande.

Je suis dans un bungalow au milieu d’une petite jungle, avec plantes et arbres, e de nombreux oiseaux, d’espèces locales. Le service hôtelier est succinct,mais la gérante de ce lieu est très souriante. On ne peut pas tout avoir.
Mon voyage est plutôt orienté découverte et exploration de cette région d’Asie, mais faire une pause, prendre un peu de bon temps, sans rien faire que, se baigner, regarder le coucher du soleil et se faire un bon dîner local, est tout de même délicieux.

Je suis aujourd’hui à Kho Lanta, les pieds sur la plage. J’en ferai une description lors de la prochaine étape.

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51 – SAÏGON – Respire –

16 février 2020

 

Toujours aussi fatigué par ces courtes nuits, j’ai pris la décision de déambuler dans la ville, au gré du hasard et dépens de ma condition physique. J’ai été instinctivement attiré par les parcs, rafraîchissants et à l’abri de cette circulation la plus impressionnante des grandes villes que j’ai traversées. Ceux que j’ai vus étaient, en apparence, entretenus, mais il n’était pas rare que j’y croisasse des petits amoncellements de détritus d’où surgissaient quelques rongeurs bien nourris.
Puis, je me suis retrouvé devant le musée de Hô Chi Minh City, nom donné à la ville de Saïgon, en 1975, après la victoire sur les américains et en hommage au fondateur de la république démocratique du Viêt Nam.
Ce musée est l’ancien palais présidentiel des dirigeants du Sud- Viêt Nam, détruit à la fin de la guerre et transformé en musée. Je vous poste quelques photos, dont certaines curiosités telles que des billets de la monnaie coloniale française du début du siècle dernier. Au moment où cette région s’appelait l’Indochine.
Pour ne rien vous cacher, je suis un peu déçu par cette ville. Le soir, l’ambiance des mégas cafés, des musiques assourdissantes et des flots de touristes, se promenant sous des panneaux publicitaires géants et lumineux, me paraît, finalement, assez superficielle et réservée prioritairement aux bandes d’ados excités et très décomplexés.
Pour une ville reconquise au nom d’un idéal socialiste, ça fait un peu bizarre. Demain, dernier jour à Saïgon, peut-être avec Anne, que j’espère retrouver le soir.

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