Aux moments compliqués, tu t’agrippes à ton fil. Tu sais, celui qui t’empêche de tomber. Mais si. Tout le monde en détient un. A chaque période de sa vie. Qu’on soit nourrisson, enfant, adolescent, jeune mature, ou solide adulte, vieillard. Il n’y a pas d’âge pour cela. On n’existe pas tout seul. Ou sans rien.Lire la suite « 16 – 腹切り HARA-KIRI »
Archives de l’auteur : Max.Krief
15 – Coming Out (2)
Me revoilà déjà. Vous voyez, comme je suis prolixe en ce moment. C’est dans le dictionnaire. Les dicos, c’est pas fait pour les chiens. J’avais envie d’un croissant ce matin. Quatre cents kilocalories, qu’ils disent sur Wikipédia. Pas la peine de vérifier. N’oubliez pas que c’est un roman. Bon, pas tout à fait encore.Lire la suite « 15 – Coming Out (2) »
14 . Le fil
Coucou les amis. J’espère que vous profitez bien de l’été. Les poissons, eux, ne prennent pas de vacances. Surtout avec le crabe à l’affut. Vous me direz, ils sont à la mer toute l’année, ceux-là. Bon, mais les vacances c’est pas ça. Les vacances, c’est partir. C’est, changer d’air, changer de peau. Les câlins àLire la suite « 14 . Le fil »
13. Coming Out
Ne me juge pas. Ne me méprise pas. Ecoutes moi d’abord. Lis-moi. Après, je te donnerai mon âme. Je suis né au mois de mars, juste avant le printemps. Je dis cela car je suis un prématuré. Sept mois. J’aurais pu être un Taureau. Combattant. Un « sûr de lui ». Au lieu de ça, je suisLire la suite « 13. Coming Out »
12. L’Ombre
Interdit aux âmes sensibles et aux moins de 18 ans. ( Description médicale) Oui, je sais, l’avertissement est un peu racoleur. Mais comprenez-moi, je perds des lecteurs. Quand ça va un peu mieux, les gens vous lâchent. Alors je vais me rattraper. Ces dix derniers jours m’ont été particulièrement pénibles. Moi qui croyais avoir déjàLire la suite « 12. L’Ombre »
11. 合気道 ( AÏKIDO)
Mon corps et mon âme se disputent. L’un traine sa carcasse, alors que l’autre veut continuer la promenade. Ils ne sont plus sur la même longueur d’onde. Il faut veiller à ce qu’ils s’accordent, dans le bon sens bien sûr. Le moral influence-t-il la guérison ? C’est ce que l’on pense couramment. Pourtant des études ontLire la suite « 11. 合気道 ( AÏKIDO) »
9. On sait pas où on va, mais on y va..
Dimanche 16 avril Je vous manque parait-t-il. On me demande de continuer à écrire. D’augmenter le rythme de mes parutions. Il faut que je vous précise, ce journal n’est pas utile pour ceux qui veulent faire tourner les serviettes, pour les abonnés de la ribouldingue ou qui veulent faire la bombe. Non, on est plutôtLire la suite « 9. On sait pas où on va, mais on y va.. »
8. Poison d’Avril
Samedi 8 avril Coucou mes amis, Je suis en vacances. Moi aussi j’y ai droit. Mais ça fait une plombe que tu y es, mon gars, dorloté, cajolé, entouré, nourri aux frais de la princesse contribuable, hébergé quelques fois, services compris. Et en plus, t’arrêtes pas de râler : la nourriture est pas terrible, le litLire la suite « 8. Poison d’Avril »
7. Vive les femmes
Mercredi 8 Mars La publication des pages de mon blog s’espace comme une nouvelle représentation du temps. Ne vous focalisez pas sur cette phrase, c’est l’effet des rayons. Tous les matins, mon taxi m’emmène à Val d’Aurelle. La séance dure un quart d’heure. Je me suis fait des copines. Anaïs, Soumia et Pauline.Lire la suite « 7. Vive les femmes »
6. Pour Sacha
11 février 2017 Cet hiver est rude. Il ne nous a pas épargnés. Pluie, vent glacial, nuits agitées. Suspens politico-judiciaires, catastrophes annoncées. Et puis ces abonnés du cœur, souffrants ou bienheureux, jouissant sans retenue, sur les réseaux sociaux, se mettre à nu, sans condition, l’envie de parler de soi, quand on s’adresse aux autres.Lire la suite « 6. Pour Sacha »
5. Préliminaires
23 janvier 2017 Bonne année à tous. Il ne me restait que quelques jours pour vous le souhaiter. Je dis « vous », pour ceux qui veulent bien perdre quelques minutes à me lire. Pour vous, c’est toujours ça de pris sur la vicissitude quotidienne. J’ai moi-même reçu de nombreux messages. Par exemple « Après 2016,Lire la suite « 5. Préliminaires »
3. Ecouter son corps, il raconte parfois sa douleur.
Monsieur !.. Monsieur !… Monsieur, vous êtes en salle de réveil !
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