Flashback avant mon prochain voyage

De retour de Thaïlande en mai dernier, j’envisageai une longue période de repli après quelques semaines d’euphorie marquées par la joie de revoir ma fille et tout mon entourage. Ce fût bien ce qui arriva. L’épreuve de la solitude n’épargne personne. Il est d’une telle impudeur que de parler de soi, de ses petits soucis et que l’on ferait bien de les garder pour soi, au regard d’une guerre en Europe qui fait ici tant de malheurs. Pour en revenir à mes futiles mélancolies, Je perds pied dans ce pays, la France et je suis fin prêt à reprendre le large.
J’avais dit à Lolo, mon ami de Phuket : j’suis perdu dans ma tête. Je me noie dans les incompréhensions de l’attachement. Ma dette de cœur arrive à échéance. Pour moi, c’est une voie sans issue. Comme beaucoup d’étrangers, dans mon dernier périple, je fus lentement emporté par une jolie sirène au fond de sa rivière. Il m’avait prévenu. J’avais des années de bonheur à rattraper. Je ne peux en vouloir à quiconque. Même pas à celle qui, sentant monter en moi cet émoi délicat, fut l’objet de mon ravissement. Il faut dire que mon enchanteresse tissa adroitement sa toile en flatterie. Impossible d’en réchapper pour mon cœur tout ouvert. La rencontre fût si bien élaborée que je la souffre encore.
Je m’en retourne maintenant vers ce pays de fleurs ne cherchant aujourd’hui qu’une seule condition, partager le bonheur de ce nouveau voyage.
Quand on aime, il faut partir.

La Thaïlande que j’aime

Back from Thailand last May, I envisaged a long period of withdrawal after a few weeks of euphoria marked by the joy of seeing my daughter and everyone around me again. That was what happened. The ordeal of loneliness spares no one. It is so shameless to talk about yourself, about your little worries and that you would do well to keep them to yourself, in view of a war in Europe which is causing so many misfortunes here. To return to my futile melancholy, I am losing my footing in this country France and I am ready to set sail again.
I told Lolo, my friend from Phuket: I’m lost in my head. I drown in the misunderstandings of attachment. My heart debt is coming due. For me, it’s a dead end. Like many foreigners, on my last journey, I was slowly carried away by a pretty mermaid at the bottom of her river. He had warned me. I had years of happiness to catch up on. I can’t blame anyone. Not even to the one who, feeling this delicate emotion rising in me, was the object of my delight. It must be said that my enchantress skilfully wove her web in flattery. Impossible to escape for my open heart. The meeting was so well worked out that I still suffer from it.
I am now returning to this land of flowers seeking only one condition today, to share the happiness of this new journey.

When you love, you have to leave.

(Google Traduction)

Som tam. Papaya salad ou salade de papaye verte. Préparation

Som tam. Papaya salad ou salade de papaye verte. Présentation.

La salade de papaye verte est envoutante. Par le regard d’abord. Ses couleurs du blanc de la papaye et de l’oignon, au vert du citron, et rouge du piment, au jaune des fruits secs et du poivron. Puis par le goût onctueux, sucré et acide, la texture moelleuse et craquante. La saveur pimentée vient ensuite, particulièrement vive en Isaan, et presque insupportable pour les non-avertis. Mais on ne peut s’empêcher d’y revenir, et sans cesse recommencer, malgré la brûlure qui vous tient au fond de la gorge, presque au niveau du coeur. Ce sont les jours suivants alors que vous souffrez, bien seul dans votre intimité. Comme une rencontre heureuse qui finit en salade.

The green papaya salad is captivating. By the look first. Its colors from the white of papaya and onion, to the green of lemon, and red of chilli, to the yellow of dried fruit and pepper. Then by the creamy, sweet and acid taste, the soft and crunchy texture. The spicy flavor comes next, particularly sharp in Isaan, and almost unbearable for the uninitiated. But you can’t help but come back to it, and start over again, despite the burn that keeps you deep in your throat, almost at heart level. These are the following days while you suffer, quite alone in your intimacy. Like a happy encounter that ends in a salad.

(Google Traduction)

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