28 février 2022
Coucou mes amis. Journée chargée, ce jour. Visite de WAT ARUN, temple boudhiste qui se trouve sur la rive droite du fleuve Chao Phraya. il abrita entre 1778 et 1784 le Bouddha d’émeraude qui se trouve maintenant dans le Wat Phra Kaeo. Journée touristique mais soirée accompagnée par de « Expats » français, qui ne boivent pas que de l’eau. D’ailleurs l’eau n’est pas toujours bonne ici. Toujours demander des bouteilles fermées et sans glaçons. Jackie me disait que c’était très exagéré et qu’on ne tombe pas malade tous les jours. En fin pour moi, une seule fois suffira ! Comme je change souvent de quartier, je ne vais pas avoir l’occasion de les revoir. mes amis d’un soir. Ils les voient tellement vite arriver avec leurs tongues de méditérranée, ces touristes un peu naïfs. Les thaîs aiment l’argent, mais c’est parce qu’ils en ont besoin. Faire vivre sa famille, leur assurer un avenir décent. Et puis ils paient très cher, les conséquences de la crise économique, le manque de touristes, peu d’aides. Malgré tout ils seront les premiers à vous aider en cas de difficulté. Ici, la générosité ne se monnaie que dans l’insistance. Je ne dis pas que je ne me fais pas avoir de temps en temps, mais c’est la règle du jeu du touriste plus ou moins fortuné qui est capable en France de marchander juste pour satisfaire son égo. J’aime ces gens, qui malgré cette profonde crise, continue à vous sourire. J’ai l’impression de revoir la France des années soixante, soixante-dix. De la musique Rock et du bavardage au fond des bars à bière, accompagnés de jeunes musiciens interprétant « A horse with no name » du groupe América. Nostalgie, quand ça nous mine, nous les vieux qui ont bien du mal à le reconnaitre.






























