23 février 2022
Bangkok la grise, aujourd’hui. Par la pollution, sans doute. Masquée comme ses habitants par des mesures sanitaires drastiques. Plombée par une chaleur harassante, Krung Thep Maha Nakhon, le nom officiel de la ville, est pourtant bien vivante, du bruit continu de millions de véhicules, scooters, motos, voitures, bus, trains, Métro aérien (BTS) et travaux ininterrompus. Pourtant cette ville constituée en agglomération provinciale et qui compte 15 millions d’habitants est attrayante, voire envoutante. Ça ne s’invente pas, je suis à « Solo Hôtel », situé à Sukhumvit , l’un des des célèbres quartiers de la ville, pour ses boutiques, centres commerciaux, cafés, restaurants, marchés et vie nocturne. La crise sanitaire est encore importante, beaucoup d’établissements ont baissé leur grille et ceux qui sont ouverts terminent au plus tard à 23 heures. Entre le confinement du premier jour et celui du cinquième jour, je n’ai pas encore beaucoup bougé mais c’est le temps de l’adaptation. Prises majoritairement au téléphone, les photos en sont très représentatives.












