13 février 2020
C’est l’un des deux ponts qui surplombent la rivière rouge de Hanoï. Il est composé de deux voies de circulation, l’une pour les trains que je n’ai pas eu l’occasion de voir, et l’autre exclusive aux deux roues. Un trottoir étroit permet de s’y engager. Impressionnant. Il est tout rouillé et on ne croit pas qu’un train puisse y circuler. Et pourtant,.. Et on dit que les ponts en France sont en mauvais état d’entretien.
Sa longueur est de 1, 6 km et je peux vous dire que cela peut paraître long quand les deux-roues le font vibrer de manière continue. Ne pas trop déborder du petit passage piéton, car on a vite fait de sa faire accrocher. Mais les conducteurs sont habiles et les coup de klaxons préviennent les débordements. A ce propos les Klaxons innombrables sont peut-être déstabilisants mais jamais agressifs. En France le coup de Klaxon, c’est la dernière sommation avant de se faire écharper….Au Viêt Nam et en Thailande, c’est plutôt, « Attention, je suis près de vous, et je ne veux pas vous accrocher ». Enfin, ce n’est que mon avis.
Pour la ville, le centre, les photos sont là. Je n’ai pas pu résister à l’appel des vendeurs qui te proposent fruits, babioles et autre nettoyage de souliers. Après tout, c’est la règle du jeu des touristes qui apportent un peu de leur contribution à l’économie du pays. De là à acheter une casquette militaire à étoile rouge du régime, j’ai préféré opter pour une autre, plus neutre. Demain Hô Chi Minh ville, dans le sud. Bien que j’ai pu apprécier Hanoï, je suis content de revenir vers la chaleur du sud.